Discussion:Liste des préfixes des opérateurs de téléphonie par internet en France

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Ordre dans lequel on veut voir les données[modifier le code]

Je pense que ce serait bien de les mettre dans l'ordre des préfixes plutot que des opérateurs Hatonjan (d) 21 février 2008 à 15:42 (CET)[répondre]

Bonjour,
Les en-tête du tableau permettent de selectionner l'ordre dans lequel on veut voir les données Cordi-Allemand (discuter) 7 décembre 2022 à 11:59 (CET)[répondre]

Que signifie le sigle ABPQ ?

Bonjour,
En France, dans le secteur des Telecom, ABPQ = ABonnés Par Quartiers
En France, un numéro de téléphone est composé de dix chiffres répartis selon la série de lettres suivantes : EZABPQMCDU
E : opérateur
Z : Zone géographique, mobile (6), spéciaux (8)
ABPQ : désigne le commutateur téléphonique, dont relève un abonné
MCDU : identifiant unique de l'abonné (Milier Centaine Dizaine Unité)
L'ABPQ permet donc de retrouver le commutateur FT (= France Telecom) dans une zone télécom.
L'ARCEP est chargé de leur gestion et renseigne les professionnels Cordi-Allemand (discuter) 7 décembre 2022 à 11:59 (CET)[répondre]

Pour répondre partiellement à la question ABPQ:

Il semble que les numéros de téléphone en France, au Gabon et au Sénégal se soit allongés petit à petit, avant d'adopter chacun un numéro à huit chiffres de la forme ABPQMCDU.

Au début quatres chiffres: milliers, centaines, dizaine unité.

Ensuite PQ, mais pourquoi PQ?

Ensuite AB, ce qui semble correspondre à la logique des premières lettres de l'alphabet.

Il faudrait aussi voir s'il existe un lien avec l'ITU (UIT), et quel est ce lien?

Des informations sont disponibles sur wikipedia mais pas toute. Par exemple:

Question intéressante à laquelle je n'ai pas la réponse.
Juste une hypothèse : c'est peut-être simplement un choix arbitraire venant du fait que CD (la suite logique de AB) était déjà utilisé dans MCDU (milliers, centaines, dizaines, unités : le bloc qui vient après ABPQ)...? — Hr. Satz 27 août 2012 à 18:27 (CEST)[répondre]
Cette suite de lettres PQ MCDU date des années 60/70, à l'époque ou les n° téléphoniques locaux avaient 6 ou 7 chiffres avec le préfixe "16" (indicatif de l’interurbain) pour passer de Paris à province (ou "16 + 1" de province à Paris). Les lettres (ou chiffres) PQ (pour Préfixe Quantitatif) désignaient le n° de commutateur de rattachement (n° du central téléphonique, en général associé à un ville) au sein d'une zone urbaine ou d'un département. Le MCDU définissait le n° d’abonné attaché au commutateur. Cette suite de lettre PQMCDU (reprise ensuite et étendue par l'ITU) est donc d'origine française.
Voir aussi : Plan de numérotation téléphonique en France. Abaca (d) 28 août 2012 à 22:45 (CEST)[répondre]
Super, merci pour la précision ! Je l'ai ajoutée (avec une source) dans Plan de numérotation téléphonique en France où elle manquait. — Hr. Satz 30 août 2012 à 20:03 (CEST)[répondre]

Où trouver l'actualisation ou comment actualiser cette liste[modifier le code]

Lequel d'entre vous sait qui est responsable de l'actualisation de cette liste ? L'Arcep ? Où trouver l'actualisation de cette liste ? Merci d'avance Cordi-Allemand (discuter) 17 janvier 2023 à 12:13 (CET)[répondre]